Le créateur de voyages d’exceptions haut de gamme, présente une croisière blanche hors du commun à bord des navires :
Le Mare Australis
L’Antarctic Dream
Arrivée par Santiago du Chili, nous visiterons la Terre de Feu, en bateau de croisière parmi les canaux jusqu’à la célèbre Ushuaia… Un détour par le Cap Horn, puis changement de navire pour une traversée du passage du Drake, direction les îles de Shetland, Aitcho, pour atteindre la péninsule Antarctique… Nous visiterons la crique de Neko, la baie du Paradis, l’île de Cuverville, l’île de la Déception, la crique Pendule et l’île de Livingston, puis un retour avec les baleines, les éléphant de mer, et autres albatros… Nous rentrerons par Buenos Aires au bout d’un rêve de 19 jours…
La Patagonie (en espagnol et en anglais : Patagonia), également appelée Le Grand Sud, désigne une région géographique appartenant au Cône Sud située dans la partie méridionale de l’Amérique du Sud. La Patagonie s’étend principalement en Argentine, sur 1 140 532 km2, et tout le long de la côte Pacifique du Chili sur 256 093 km2. Ces deux pays, séparés par la cordillère des Andes, abritent des paysages contrastés de montagnes, de glaciers, de pampa, de forêts subpolaires, de littoraux, d’îles et d’archipels. Habitées depuis plus de 10 000 ans par les Sud-Amérindiens tels les Mapuches, les Tehuelches ou les Selknams, ces terres furent décrites pour la première fois par l’italien Antonio Pigafetta dans son récit du premier tour du monde du navigateur portugais Fernand de Magellan publié en 1525. Après une colonisation lente et difficile, la plupart des autochtones disparurent, remplacés par une population métissée qu’on peut qualifier de « sudaméricano-européenne ». Avec une densité de 3,8 habitants au km2 (3 habitants au km2 en Sibérie, 0,46 habitant en Alaska), la Patagonie est une des régions les moins peuplées au monde. Ses terres sont exploitées pour l’élevage de bétail en d’immenses fermes appelées estancias ou convoitées pour leurs ressources naturelles importantes. Elle représente des intérêts écologiques et géonomiques importants qui suscitent des convoitises.
La Patagonie fait partie de la région biogéographique (écozone) néotropique. Par la présence de la cordillère des Andes, de l’influence de l’océan Pacifique et de l’océan Atlantique, la morphologie géographique (biome) de la Patagonie se présente fortement diverse et contrastée. Les paysages se composent de forêts tempérées d’arbres à feuilles caduques, de prairies, savanes et brousses tempérées, de prairies et broussailles de montagnes, de montagnes, d’étages alpins, d’étages subalpins, de glaciers côtiers et de vallées, de littoraux ou de physiologies maritimes telles des fjords, des îles, des bras de mer ou détroits.
L’Antarctique est le continent le plus méridional de la Terre. Situé au pôle Sud, il est entouré de l’océan Austral ou océan Antarctique. Il est aussi bordé par la mer de Ross et la mer de Weddell.
Avec une superficie de 14 millions de kilomètres carrés[1], l’Antarctique est plus petit que l’Asie, l’Afrique et l’Amérique ; seules l’Europe et l’Océanie sont plus petites que lui. Quelque 98 % de sa surface sont recouverts d’une couche de glace faisant en moyenne 1,6 km d’épaisseur.
L’Antarctique est le continent le plus froid, le plus sec et le plus venteux. Puisqu’il n’y tombe que peu de précipitations, excepté sur les côtes, l’intérieur du continent constitue techniquement le plus grand désert du monde. Il n’y a pas de population humaine permanente, et l’Antarctique n’a jamais connu de population indigène. Seuls des plantes et des animaux adaptés au froid y survivent, y compris des manchots, des phoques, des mousses, du lichen et de nombreux types d’algues.
Le nom Antarctique vient du grec ἀνταρκτικός (antarktikós), qui signifie « opposé à l’Arctique ». Bien que des mythes et des spéculations concernant une Terra Australis (« Terre Australe ») remontent à l’Antiquité, on considère en général que le continent a été aperçu pour la première fois en 1820 par l’expédition russe de Mikhaïl Lazarev et Fabian Gottlieb von Bellingshausen. Cependant, le continent resta globalement négligé durant le reste du XIXe siècle, du fait de son environnement hostile, de son manque supposé de ressources, et de son emplacement isolé.
Le traité sur l’Antarctique a été signé en 1959 par douze États. Il a été complété en 1991 par le Protocole au Traité sur l’Antarctique relatif à la protection de l’environnement en Antarctique. Il interdit les activités militaires, l’exploitation des ressources minérales sauf celles qui sont menées à des fins scientifiques. Il accorde la priorité aux activités de recherche scientifique. Les expériences en cours sont effectuées par plus de 4 000 scientifiques de diverses nationalités et ayant des intérêts différents. Il existe aussi une Convention pour la Conservation des Ressources Marines Vivantes de l’Antarctique (ou « CCAMLR »).
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